— unexpected meeting • pv felicia.

Votre vie est parfois un rêve, et parfois elle est tout simplement un cauchemar. Un pur cauchemar, bercé par des crimes & des phénomènes que jamais un humain ne devrait voir, dont un humain ne devrait jamais soupçonner l'existence. Les crimes & les horreur de la magie ne devraient sans doute pas exister. Mais il font partie de ce grand ensemble qui régit l'existence, le bien & le mal. Dans le maintient dans l'équilibre, il faut bien quelqu'un. Oui, les épouvanteurs essaient de maintenir un équilibre, tout en sachant pertinemment que le bien possède un bien mince avantage sur le mal. Le mal est partout, il plus facile de faire le mal, plutôt que de faire le bien. Le bien exige un don total de soi à une cause, le mal est le chemin de la facilité & de loin le plus attirant des chemins. Mais il y a un endroit où le bien & le mal sont à égalité, c’est dans la mort.

Le sol était humide. L’hiver s’accrochait à la petite province américaine. Un hiver, froid, glaciale. Les rayons de soleil berçaient la ville, sans lui apporter une once de chaleur, rien. Une voiture noir s’arrêta brusquement sur la parking de l’église. Une berline noir des plus banale. La portière s’ouvrai, laissant passer un homme aux cheveux ébène. Il descendit, en enfilant ses lunettes noir. Le vent faisait doucement virevolter la chevelure ébène. La porte de la voiture se ferma doucement, laissant planer un bruit sourd à sa fermeture. Des pas silencieux, dans la froideur lumineuse. L’homme terminant d’enfiler sa veste en cuir noir qu’il ferma tout en marchant. Il contourna l’église. Il ne daigna pas la regarder. Non. Il entra par un petit portail, ce dernier grinça, un bruit strident. Le parfait petit portail pour film d’horreur. Les pas du jeune homme foulaient le sol du cimetière. Ces pieds esquivaient, puis écrasaient les herbes, les mauvaises herbes.

Le jeune homme contourna plusieurs tombes. Toutes plus usée par le temps les unes que les autres. Il en cherchait une, une seule. Ses yeux terrés derrière ses ray ban noir scrutaient les inscriptions. Il imaginait aisément à quel point la tâche aurait été difficile sous la pluie, le sol aurait été des plus glissant. La chance avait bien voulu faire de ce jour dans l’état de Washington sans pluie. Certains disaient que c’était un signe de bon dieu. Pour cet homme, rien n’était le signe de dieux. Il ne croyait pas au destin. Non. Gillian Lenshaw ne croyait en rien, sauf en l’homme qui avait le pouvoir de changer son destin, car celui ci était entre ses mains. L’homme sembla trouver ce qu’il cherchait. La tombe semblait déjà recouverte par le lierre, pourtant, elle était de loin celle qui était la moins enseveli sous les mauvaises herbes.

“Jeremiah Arthur Levinstgon, 1959-2009”, était il écrit sur la tombe. La date récente du décès expliquait sans doute l fait que la tombe soit si peu sujette aux mauvaises herbes. Quant aux lierre… ce ci est une toute autre histoire. Gillian resta debout, face à cette dernière qui était dépourvu de fleur. Il resta un moment à la fixer. Un sacré moment. L’épouvanteur se remémorait peut être les moment passé avec ce Jeremiah, un ami de son père adoptif, lui aussi, septième fils d’un septième fils. Jeremiah avait périt il y a quatre mois, soit disant en pleine chasse abattu par un ours. Son corps était déchiqueté, vidée de sang. Pour Gillian, cette mort n’avait rien d’une attaque d’ours, loin de là. Cette vision de son corps retrouver déchiqueté ne le fit pas même frémir. Il avait vu bien des horreurs dans sa vie. Il murmura alors =

« repose en paix. »

Gillian lui même ne cru pas un de ces traîtres mots. Comment pouvait on reposer en paix ? Gillian ne savait pas ce qu’il y avait après la mort. Il pourrait aisément savoir, en convoquant ici & maintenant un esprit. Sa faculté de nécromancie &tait aussi intéressante qu’effrayante. Convoqué une âme serait une chose abominable & selon Gillian contre nature. La magie elle même est sensé être contre nature. L’épouvanteur ne se servait jamais de sa faculté. Jamais. Il considérait sa faculté comme le fait du mal, or, il combattait le mal, comment pouvait il être comme ce qu’il combattait.La tentation du pouvoir était grande, immense, & surtout démesuré. Gillian résistait, tant bien que mal depuis des années. Mais parfois, pour faciliter son emploi on commet l’erreur de se servir de sa magie, croyant agir pour le bien commun, alors que la seule chose que l’on sert est son intérêt propre

Le silence d’un cimetière est à vous glacer le sang. Ce jour là, le silence régnait. Le vent soufflait doucement en s’engouffrant dans les arbres assez lointain, il sifflait faiblement. Faiblement, mais sûrement. Les arbres se balançaient de gauche à droite, tout comme les herbes au sol, tout comme ses mèches de cheveux. De gauche à droite, puis de droite à gauche, incessamment, continuellement. Le vent insufflait sa mélodie au onde qui l’entourait. Il donnait le rythme & menait la danse. Gillian fixait un point devant lui. Une tombe. Jamais il ne se recueillait, jamais. Les habitues changent, le jour où vous perdez quelqu’un qui était assez proche pour connaître l’un de vos plus grand secret. Gillian avait perdu un ami, l’ami de son père adoptif, quelqu’un qui l’avait vu grandir, qui l’avait vu changer, & une des rare personne à l’avoir vu rire & sourire avec sincérité.

Reprenons, le recueillement. Un moment, sain, sacré & silencieux. Gillian fixait la tombe, songeant alors au fait qu’il aurait dû apporter comme les gens absolument normaux le font, une fleur ou quelques chose dans le genre. Jamais il n’avait visité un cimetière uniquement dans le but de se recueillir. Non, généralement, il pillait des sépulture pour libéré un esprit retenu à ce monde, rattaché à sa vie, bien qu’il pouvait se servir de son pouvoir pour le forcer à quitter ce monde, mais.. non. Il ne se servait jamais de son pouvoir de nécromancien. Pas depuis qu’il avait lu dans un livre que l’utilisation de ce pouvoir conduisait à la perte de l’esprit & au mal. Le pouvoir était tentant, jusque là, il y avait cédé, plusieurs fois, enfant, mais depuis, rien. Il fuyait la magie, & tout ce qui se rapprochait de près ou de loin à une sorcière.

Le silence. Gillian allait tirer sa révérence, il aurait pu faire comme n’importe quelle personne, parler au défunt, mais pour lui.. non… S’il tentait de lui parler, il y avait moyen que ce dernier apparaisse devant lui en esprit. Ne pas mentionner les morts était un des rare moyen que Gillian avait pour contre carrée son pouvoir. Il allait partir sans se retourner, quand une personne non identifié lui sauta au coup. Non identifié, sur le coup… Sa voix ramena bien vite Gillian à la réalité & face au fait qu’il connaissait cette personne… Felicia Corey. Sorcière. Une sorcière a qui visiblement l’épouvanteur avait manqué… Un épouvanteur ne manquait jamais à une sorcière normalement constitué, les sorcières avaient généralement tendance à vouloirs les tuer, ou à les fuir.

Gillian ne réagit pas tout de suite. La fille, la sorcière entourait son cou de ses bras & semblait fermement se tenir à lui. Sincèrement, on lui avait appris à se débarrasser des sorcières nuisible dans bien des situation, mais celle là, était… inédite ? Oui, sans l’ombre d’un doute. Gillian la laissait à son cou, le temps de reprendre ses esprits. Il devait bien avouer que la revoir, elle ici & maintenant relevait du miracle ou d’une certaine malchance, tout dépend de la façon dont vous percevez la chose. Pour Gillian, c’ était un manque cruel de chance. Il était parti pour ne plus la revoir, pour lui, comme pour elle. Et elle était là, devant lui, dans ses bras. Une question lui trotta dans la tête, pourquoi toutes les femmes de sa vie étaient elles des sorcières ?

« Lâche moi felicia, s'il te plait. » dit il d'une voix profondément distante.

Gillian était de nature distante avec le monde qui l'entourait. Oui, ssez distant. Il avait toujours été distant depuis qu’il savait qu’il était différent. Autant dire qu’il était distant depuis toujours, car depuis aussi loin qu’il s’en souvienne, il s’était toujours senti différent, il avait toujours perçu ce que les autres n’avaient pas pu voir. L’épouvanteur devait être distant avec elle, pour le bien de cette dernière, pour qu’il n’ai pas à la tuer lorsqu’elle serait devenue trop encombrante, ou dès le moment où elle aurait cédé dans le mal. Gillian ne voulait pas avoir à revivre le fait de devoir éliminer quelqu’un qu’il aimait. Il avait décidé de ne plus commettre une pariel faute, non, jamais plus jamais. L’épouvanteur tenta de détaché la sorcière de son cou, mais elle y était fermement accrochée.

Une rencontre dans un lieu pareil est a faire froid dans le dos. Une rencontre inattendue dans un lieu pareil est tout simplement improbable n’est ce pas ? Gillian ne voulait pas admettre qu’elle était là, devant lui. Elle, sa Felicia. Son ancienne Felicia. Celle qu’il a aimé, celle qu’il a quitté. Il l’a quitté & ne regrette rien selon ses dires. Admettre un regret pour Gillian équivaut à annoncer une défaite cuisante. Il ne voulait pas avouer un regret, non, parce que pour lui, il n’y avait absolument rien à regretter, elle n’était qu’une sorcière, c’était ce qu’il se plaisait à dire. Juste une sorcière. La dernière fois qu’il l’avait vu, il l’avait embarrassé comme jamais il ne l’avait fait. Il ne lui avait rien dit, pensant que c’était mieux sans mots. Il ne lui avait pas dit qu’il partait, non. Il était partit, il avait quitté la ville pour entamer une formation. Sa formation, celle d'agent du FBI. Il avait décidé bien tôt de ne pas faire de sa vie une sucession d'acte d'épouvanteur. Il avait effectué son service millitaire en Afganistant peu avant de rencontrer Felicia, auparavant il avait étudier en université. Depuis trois ans, il était au FBI, & avait vu les immodices humaines, les crimes, passionel & tant d'autre. Plus le temps passait plus l'homme le répugnait.

Elle l'avait lâché. Enfin, ou déjà ? Gillian ne savait que penser. Que devait il penser, qu'elle séloignait enfin de lui, car elle était une sorcière, ou qu'elle s'éloignait déjà de lui, parce que.. il l'aimait ? Gillian refoula cette pensée avec fermeté, se disant à lui même, " tais toi". Il fixait la jeune femme, qui n'avait pas changé, en trois ans.. Si elle avait été humaine, elle aurait changé, mais là, rien. Pas un seul changement, elle était tellte que dans ses souvenirs, belle. Certes, à cet instant elle étaiut triste, Gillian observa la naissance de larme au coin des yeux de la jeune femme. Des larmes qui ne coulèrent presque pas. Son visage sans expression marqua l'épouvanteur. Il était passé maitre dans l'art de refouler, expression, sentiments & idée. Il était passer maitre dans l'art de l'orgueil & des préjugés. Il était passé maitre dans l'art de l'apparence & des on dit. Et petit à petit il réalisiait qu'il passait maitre dans l'art d'être un monstre sans âme & sans coeur. Mais la vie d'épouvanteur est ainsi, sans âme, sans coeur, sans amis, sans femmes, sans famille, sans amour. Trop de sacrifices. Il le savait. L'apoivanteur écouta la jeune femme. Que faisait il ici ? Ou ça ? au cimetiere ou à Raven Gate ? Il tourna légérement la tête, fixant un point au loin, inspira, plongeant ses deux mains dans les poches de sa veste, puis reposa son regard sur félicia.

« Je travail ici, pour le FBI. » lâcha t il, sans l'ombre d'une conviction dans ses paroles.

Gillian dépouvrvu de conviction, c'est l'égal d'un Monisuer Darcy de Jane Austen dépourvu d'orgueil, autrement dit.. inhabituel. Durant ses mots, il observait Felicia qui avait fermé ses yeux. Peut être retenait elle ses larmes, peut être pensait elle. Qu'importe. L'épouvanteur perçu alors qu'elle se mordait la lèvre. Un tel masochisme... Il continuait de la fixer, espérant, ou n'espérant pas qu'elle rouvrirait ses yeux, un jour. Il aurait dû, en rester, là, partir. Ne pas se retourner, tout ce qu'il avait à lui dire, était dit, là, c'était fait, il était là, pour son travail, et non pour elle. Gillian sorti les mains de ses poches, sans réellement savoir, pourquoi, ni comment. Le subconscient peut être.. Il n'y croyait pas vraiment.. il ne voulait surtout pas y croire. Il observa une larme sur sa joue. Une larme coula. Elle gardait ses yeux fermé. On lui avait dit qu'il était mal de faire pleurer les femmes, sa maitresse d'école le lui avait dit. Son père adoptif lui soutenait que les femmes étaient horribles. Horrible, vil cruelle & manipulatrice. Mais quelle humain serait assez cruel pour faire pleurer quelqu'un ? Instinctivement, sans réfélchire, Gillian posa sa main sur la joue de Felicia et fit disparaitre cette larme. Sur son beau visage c'était une torture pour lui. Sa peau était douce. Oui, il s'en souvenait. Les souvenirs font parti de nous, ils nous habitent, et parfois même, nous hantent.

L'épouvanteur restait là, sa main posé sur la joue de la jeune sorcière. Il se trouvait purement & simplement ridicule. Il ôta sa main, avant de ne croiser le regarde de la sorcière. Que diable avait il fait ? Son ami enterrer si pieds sous terre dans ce cimetière, lui dirait que cette fille & sa sournoiserie l'on envoûté. Pourquoi donc tout les épouvanteurs méprisent ils les femmes ? parce qu'elles se sont joués d'eux ? Peut être... Gillian eut envie de le dire "cesse de pleurer", mais à quoi bon ? Il avait cessé de croire à sa froce de conviction avec Felicia depuis longtemps. Il devait bien avouer qu'elle avait tendance à... être déterminé ? C'était le souvenir qu'elle lui laissait. Gillian hésita, discuta avec son esprit, deux parti se chamaillait. L'épouvanteur attira la sorcière dans ses bras. Doucement. Calmement. Près à parer le moindre de ses gestes. Une soricère ne lui donnerai pas plus de fil à retordre qu'un détenu non ? Il la tira à lui, jusqu'à lui. Tout contre lui. Pourquoi faisait il cela ? Il n'en savait rien. Il la serra contre lui, docuement, lui laissant.. le choix, de s'extirper de là, ou bien de rester. Il ne cherchait pas son regard, juste sa présence.

« Je n'ai pas eut le choix Felicia. Je n'ai pas eut le choix.. » murmura t il à la jeune femme.

Epouvanteur, un métier, qui exige maint & maint sacrifices. On ne choisit pas cette voie par passion, on le fait par obligation. On ne chosiit pas de devenir épouvanteur, cela est écrit. Le septième fils d'un septième fils n'a pas d'autre choix que de devenir épouvanteur. Seul lui & lui seul peut exercer cette tache. Seul lui. Un spetième fils a des capcité hors du commun. Tout simplement hors du commun. Si vous demlandez à Gillian si par choix il serait devenue épouvanteur, la réponse serait catégorique, & serait négative. S'il avait eut le choix de sa vocation, il serait sur son bâteau, loin de toute civilisation, ou loin en randonnée en Alaska. Loin de ce monde qui l'écoeur.

Feicia était là, dans ses bras. Elle ne le repoussait vraissemblablement pas. AU contraire, elle en vain même à s'appuier contre lui, posant sa tête, posant une question et l'entourant à ses tours de ses bras, de ses petits bras de femme. Elle lui pose une question. Une question légitime. Elle le posait avec calme, ce qui epata Gillian, n'importe quelle autre femme l'aurait giffler & insulter de l'avoir laisser ainsi, sans nouvelles du jour au lendemain, sans crier gare. En ce point, Felicia était unique, mais cela restait comme elle le disait elle même... Un monstre. Une sorcière était un monstre.

Il était parti à cause d'elle, oui. Pour lui & à cause de lui également. S'il avait été humain... Une sorcière ou une humaine, il n'aurait pas vu la différence. Loin de là, il aurait été berné comme tout autre humain. Mais les épouvanteurs possèdent comme un sixième sens pour dicerner la mahie chez les gens. Et à son grand déespoire, il y avait de la magie en Felicia. Une sorcière, une autre sorcière. Encore une. Elle était la seconde, il ne voulait plus commettre les même erreurs, il est donc parti. L'épouvanteur laissa un mini silence, pensant ses mots, & finit par dire.

« Ce n'est pas uniquement à cause de toi... En parti à cause de ce que tu es, par rapport à ce que je suis.. » il marque une longue pause.. « J'ai commis de nombreuse erreur avec quelqu'un d'autre, j'ai dû..je.. je devais.. mais j'ai pas... pu... enfin... je voulais... je ne veux pas endurer ça.. encore une fois... je.. je ne voulais pas te faire de mal. »

Il acheva sa pensée la dessus. Oh non, il ne voulait plus endurer ça. Souffrir, souffir comme il avait souffert une première fois, plus jamais avait il dit. Plus jamais. Comme quoi, il ne faut jamais dire jamais, Gillian c'était retrouvé un an après cette première fois, dans une situation similaire. Par la suite il n'avait trouvé qu'une seule solution, fuir ces femmes qui selon la major partie des épouvanteurs vous empoisonnent les vie d'une mannière ou d'une autre.

Gillian laissa ses mots.. Qui sans doute ne pouvaient pas être compris de A à Z par Felicia. Elle ne pourrait pas comprendre, le encore une fois. Non, il n'avait jamais mentionné son passé dans leur relation, il n'avait jamais parlé de sa famille, car cette dernière n'avait jamais fait parti de sa vie, étant morte dans sa jeunesse. Il n'avait jamais mentionné l'autre sorcière, qui était morte à ses yeux, bien qu'elle soit encore en vie. Il ne mentionnait jamais Melusine, oh non, jamais, même pour lui, on ne mentionne pas une sorcière que l'on est sensé avoir tué. Felicia ne comprendrait peut être pas tout, mais il espérait qu'elle comprendrait un peu, sans avoir à poser trop de question.

Lorsqu'il avait parler, il n'avait point dit que Felcia était un monstre. Il le oensait pourtant, c'était un monstre. Mais... le dire était tout autre chose. Lui aussi, en prennant du recul était un monstre. Il possèdait la magie, même s'il ne l'utilisait jamais. Son pouvoir le terrifiait & le fascinait à la fois, pourtant jamais il ne l'utilisait. Il était lui aussi un monstre, il en avait conscience et ne disait jamais qu'il était quelqu'un de bien, à quoi bon mentir ?

Il l'avait fait, non sans un soupçon de regret. Oui, il avait tout de m^mee un peu regretter, tout homme constitué normalment devait regretté d'avoir abandonné quelqu'un de là sorte. mais pour Gillian, c'était pour son bien à elle, comme pour son bien à lui. La soricère ne semblait pas comprendre qu'il l'avait quitté pour elle, que même si elle avait souffert, elle faisait toujours parti de ce monde, car s'il était resté, il aurait accompli son devoir, il aurait fait ce qui devait être fait, magrès tout, il l'aurait tué parce qu'il devait la tuer.

La souffrance fait partie de l'homme. L'homme doit souffir, c'est son fardeau. L'homme est né pour souffir, chaques jours de sa penible existence est une souffrance. Il souffre quand il se lève, quand il march,e quand il aime, quand il hait, quand il méprise, quand il ignore. La souffrance, est là, partout autour de nous. Felicia avait souffert, bien, Gillian aussi avait souffert, plus d'une fois, mais jamais, jamais il n'étalait sa souffrance, car elle n'intéressait personne. Personne. Et pourquoi voudrai t il interessé quelqu'un. Il se contenta de répondre à la jeune femme :

« La souffrance est le propre de l'homme. » il marque une longue pause.. « Tout le monde souffre, jai fais ça par ce que c'était la seule chose que j'avais à faire. »

Elle avait beua soupirer, il ne see sentait pas coupable, il n'était pas coupable, la culpabilité... il ne voulait pas la resentir, tant que lui était convaincu qu'il avait bien fait, jamais il ne sentirait coupable. Gillian ne faisait confiance à personne & ne s'appuiait jamais sur le jugement d'autruis, encore moins lorsqu'il s'agit d'une sorcière. Il fallait dire ce qu'il était, une sorcière, ou un sorcier quel qu'il soit n'était pas digne de confiance selon la majorité des personne.

La jeune femme posa ses mains douce sur le visage du jeune homme, elle était légérement plus petite. Ses yeux fixaient les prunelle ténébreuse de l'épouvanteur. Il ne cilla pas aux parole de la jeune femme. Elle venait de lui dire qu'elle l'aimait. Il n'avait pas bouger, pas broncher. Rien, il avait à peine réagit. Juste à peine. Gillian s'était endurci, oh que oui. Une carapace épaisse entourait le jeune homme.L'épouvanteur attrapa les deux poignets de la sorcière avec ses mains, docuement, & les retira progressivement de son visage avec douceur. Il continuait de la regarder. Il resta muet avant de dire.

« Felicia.. tu viens de dire que tu as souffert.» il s'arrêta. « Tu n'est certainement pas masichiste au point de vouloir ressoufrir à nouveau. La meilleur chose que tu puisse faire, si tu tiens à ta vie.. c'est... m'oublier. »

La voix de Gillian était calme. Trop calme. Il avait mal en disant cela, mais au fond, c'était vrai. Les femmes de sa vie ont tendance à être des sorcières. Il ne voulait pas qu'elle meurt. Non. Là, il l'aurait vraiment sur la consicence.

« désolé....» murmura t il à la limite de l'audible. « dans.. dans d'autre conditions.. je.... »

Il s'arrêta de nouveau, la fixant. Il lâcha progessivement ses poignet qu'il tenait avec douceur. Dieu qu'elle était belle. Une chose était sûre, les sorcière l'avient ensorcellé, c'était obligé, obligé. Felicia lui avait jetté un sort, elle lui avait peut être fait boire quelque chose pour anihiler ses facultés. qui sait... Il continuait de la regarder. Il s'approcha d'elle doucement, il approcha son visage du sien, tout en posant avec délicatesses ses mains sur ses hanches. Les lèvres de Gillian cherchèrent celle de la sorcière, pour y déposer un baiser. Il embrassa la sorcière, amureusement ? Peut être un peu.. Langoureusement ? peut être un peu... Passionnément ? Peut être un peu...